Des dollars aux données : Budgétisation de la recherche sur le phénotypage numérique

Déscription

« Cette session sera interprétée en direct de l’anglais vers le français .

Alors que les smartphones, les objets portables et les médias sociaux font partie intégrante de notre vie quotidienne, le phénotypage numérique offre de nouvelles possibilités de recherche, mais la gestion du budget peut s’avérer difficile. Joignez-vous à Dre Alexia Polillo et Dre Marta Maslej, scientifiques au Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH), qui exploreront les divers aspects de la budgétisation des études de phénotypage numérique, notamment la dotation en personnel, la gestion et le traitement des données, l’engagement et la rémunération des participants, ainsi que l’application des connaissances. Elles se pencheront sur les coûts imprévus et partageront des conseils pour collaborer avec des fournisseurs tiers. Que vous planifiez votre première étude ou que vous affiniez votre approche, cette session vous fournira des outils pratiques pour que chaque dollar compte dans cet espace de recherche de pointe.

Pour accéder à cette session en direct, rendez-vous sur la plateforme de gestion de l’apprentissage de DIVERT santé mentale. Des identifiants de connexion sont nécessaires. Pour obtenir les identifiants de connexion, enregistrez-vous auprès de DIVERT santé mentale en tant que membre associé. Si vous avez oublié votre mot de passe, cliquez ici pour le réinitialiser. Si vous avez besoin d’aide pour accéder à cet événement, veuillez envoyer un courriel à divert@yorku.ca. »

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  Dre Alexia Polillo est scientifique au Slaight Family Centre for Youth in Transition de CAMH et professeure adjointe au Département de psychiatrie de l'Université de Toronto. Ses recherches s'appuient sur des outils numériques et des méthodes participatives pour comprendre la relation entre l'utilisation des médias sociaux et la maladie mentale chez les jeunes.
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  Dre Marta Maslej est scientifique et codirectrice de l'équipe des soins prédictifs à CAMH, et professeure adjointe au département de psychiatrie de l'Université de Toronto. Son équipe utilise des méthodes interdisciplinaires pour étudier les applications de l'intelligence artificiel dans les soins de santé mentale, en mettant l'accent sur l'intégration responsable et l'équité en matière de santé.